~ on these bodies we live (emmy)

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Un sourire doucement posé sur ces lèvres, Rheys marcha dans la rue, un silence régnant. Aucune envie de parlé en ce moment, puisqu'il était plus qu'heureux. Depuis combien de temps déjà avait-il chercher l'amour, le vrai ? Des années, et hélas, il ne l'avait jamais réellement trouvé. Voilà qu'aujourd'hui pourtant, tout devenait clair, et enfin il pouvait vivre se rêve de tomber amoureux. Hartley se dirigeait tranquillement, avec un pas fluide, chez sa cousine Emmy. Sa bonne humeur était dû justement à cette merveilleuse jeune femme qui présentement venait de se faire larguer, si on pouvait le dire ainsi. Elle avait perdu un enfant, et son couple n'avait pu survivre après cette perte. C'est à ce moment qu'entrait Rheys, le si dévoué mais déchiré. Lui-même quelques mois auparavant, avait eu une peine d'amour insurmontable, lui avait-elle semblé. Sa petite amie depuis plusieurs années et lui semblait être des âmes-soeurs. Pourtant, lorsqu'il mit le genou au sol, lui demandant sa main, elle refusa catégoriquement, sans même un once de regret dans la voix. Elle s'était ensuite exclus en partant de leur petit appartement, que plus tard elle quitta définitivement sous les yeux haineux de Rheys qui ne pouvait plus la regardé, elle et sa tête d'idiote. Elle le trompait depuis plusieurs mois déjà, et elle ne pouvait donc pas le marié dans de telles conditions, en l'ayant trompé. Hartley arriva donc à la porte de la maison des Richards, un sourire sur le visage. Lorsque la porte ouvra il vit une Emmy encore assommé durement, il faut le souligné. Perdant alors son sourire, Rheys la regarda avec un air compatissant. « Bonjour demoiselle. Ça va un peu mieux aujourd'hui ? » Il lui avait promit qu'il serait là pour elle lorsqu'ils étaient enfant. Il tiendrait toujours sa promesse. Après tout il détestait la voir ainsi.

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Elle n'aurait pas su dire ça faisait combien de temps, des jours, des semaines. Toute sa vie semblait s'être mise sur pause. Elle n'était pas sortie depuis des jours en vérité elle ne savait pas pourquoi elle l'aurait fait. Elle n'avait pas envie de sortir et de faire comme si tout allait comme elle l'aurait fait auparavant. Elle n'était plus la même, et elle n'avait plus rien à prouver à personne. Elle avait pris une chance et était tombée de haut. Ils avaient préféré abandonné plutôt que de se battre. Il était son âme-sœur elle ne se serait jamais imaginé sans lui. La réalité les avait rappelé bien vite. Ils avaient été stupides de croire qu'ils seraient au dessus de tout ça. Mais maintenant c'était du passé, c'était une partie qu'ils avaient perdu. Elle voyait sa famille défilée à tous les jours, tout le monde essayait de la faire parler, comme si ça allait améliorée les choses. Ils voulaient lui remonter le moral, lui changer les idées, la faire sourire. Elle ne leur en voulait pas, chez elle c'était comme ça, un pour tous et tous pour un. Les soupers, les rencontres de famille, lorsque quelque chose arrivait ça arrivait à tout le monde. Elle aurait fait la même chose mais en vérité ça ne fonctionnait pas. Elle n'avait pas envie d'expliquer, de se justifier, de se replonger dans son histoire. Elle avait besoin de temps pour laisser la poussière retombée, pour se laisser le temps de se relever même si ça prenait tout le temps du monde. Sa soeur était à l'université, contrairement à elle qui n'avait pas été en cours depuis des semaines. En temps normal, elle se serait plongée dans ses bouquins mais même ça ne semblait pas fonctionné. Elle prit une tasse de café, la seule chose la tenant encore debout lorsqu'elle entendit sonner à la porte. Ce qu'elle vit ne la surprit pas. Enfin plus ou moins. Elle avait l'impression d'être babysitter, sa famille venait à relais comme s'ils s'attendait à ce qu'elle fasse quelque chose de stupide. Néanmoins, elle laissa Rheys entré même si c'était perdu d'avance. « Ça dépend de ce que tu veux dire par là. » Elle le regardai quelques instants. Elle savait qu'il ne venait pas que par hasard, elle n'était pas stupide. Mais elle n'avait pas envie de se battre. « Tu veux du café? »

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Elle se tenait devant lui, telle un ange déchu. Rheys n'avait aucune de quoi faire, comment s'approcher d'elle et lui parlé gentiment. Il se souvenait lui-même avoir été sur ces gardes pendant longtemps avec presque tout le monde. Dans leurs famille à tous deux, c'était tout ou rien, chose qui avait le don de titiller le brun qui était plutôt le contraire. Il détestait devoir choisir, mais faisait toujours des choix, et ne choisissait que rarement le tout. En ce moment, il se tenait devant la maison de sa tante, soit la mère de Emmy. Il était de la parenté maternelle de la brune devant lui, et non paternel. Un sourire sur son visage, il avait toqué, repoussant derrière lui tout le désespoir et le chagrin qui avait pu s'éprendre de lui quelques minutes plus tôt. Aujourd'hui il était présent pour sa cousine en tant que famille, ami, confident mais aussi psychologue. À vrai dire, il savait très bien en tant que psy, que ce dont Emmy avait besoin était de temps. Seulement il était rare qu'avec leur famille de fous, une personne brisée puisse passé du temps seule. Lui-même avait connu cet épreuve lorsque sa petite-amie et lui avait rompu, techniquement parlant puisqu'aucun n'avait prononcer les mots pour rompre. Rheys entra dans la maison en regardant une Emily différente de celle qu'il avait connu jadis. Brisé, déchu par l'amour. Il ferma un instant les yeux puis regarda autour de lui. Bon d'accord. Je vais pas te le cacher, ta mère m'a fait venir ici pour que je lui sorte un diagnostique. Au fond elle utilise mon métier pour te faire parlé. C'était tout un élan de générosité de sa part. Normalement il faisait comme lui disait la famille et épiait chaque petit détail de la vie des gens pour savoir ce qui clochait, ou si tante chose ne trompait pas oncle truc. Mais avec Emily, il ne pouvait pas faire semblant, et faire son boulot. Jamais il ne la ferait parlé si elle ne le voulait pas. Il se trouvait ici en tant qu'ami. Pas en tant que famille ou psychologue de bazar. D'un geste il repoussa ces paroles. Donc en gros, si tu as envie de parlé, je suis là. Mais je ne vais pas t'épier ou chercher à te faire parlé, où même a te donné un sérum de vérité, te jeter un sort ou voire à te torturer. Je suis ici en tant que Rheys. Oublie le cousin, la famille, ou mon métier. J'ai laissé tout ça derrière moi lorsque j'ai passé le cadre de porte. Il eu un sourire sur le visage pensant à la prochaine phrase qu'il lui dirait. Ta mère elle peut allé se faire voir, je vais rien lui dire. Tu n'es pas le moindrement folle, tu as juste besoin de temps. Finalement après quelques paroles il se tut, la laissant parlé. La seule chose qui sortit fût s'il voulait du café. Rheys était d'origine britannique, il l'avait sut il y a quelques mois déjà, il avait été adopté par une famille américaine alors que ces parents biologique étaient décédés tous deux. Il n'avait pas voulu savoir la cause et s'était arrêter là. Bref, tout ça pour dire que les britanniques adoraient le café. Enfin il comprenait d'où il retenait ce goût. Pourquoi pas tiens. Dit-il en la regardant doucement. Il ne voulait pas la bousculer. Il tenait trop à elle pour ça.

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Avec le temps, elle avait appris à ne plus se surprendre de sa mère. Si elle n'avait pas la réponse elle-même, elle la trouverait d'une autre manière. Elle avait cette pensée magique que si elle parlait alors tout disparaîtrait. Elle n'avait visiblement jamais vécu quelque chose qui puisse lui faire réaliser que c'était impossible. Ça ne disparaîtrait pas en quelques secondes. Elle essayait d'en savoir plus toujours plus. Alors qu'il n'y avait rien à dire. Elle avait perdu son bébé, Alex était parti. Fin de l'histoire. Tourner le couteau dans la plaie ne donnerait rien de plus. Elle n'avait pas besoin d'en parler, ils ne pourraient rien y faire. Mais ce n'était pas une option. Elle n'avait jamais aimé parler d'elle-même, même avant tout ça. Ce n'était tout simplement pas elle. Elle ne voulait pas de leur pitié. Elle n'en avait pas de besoin. Ce dont elle avait de besoin c'était quelqu'un qui comprenne qu'elle avait besoin de temps et qui respecterait ça même si ça leur semblait incompréhensible. Elle savait pertinemment pourquoi Rheys était là, c'était loin d'être subtile. Elle avait beau avoir le coeur brisé elle n'en était pas plus stupide. Il était psychologue, il était peut-être son cousin mais ça ne lui donnait pas une longueur d'avance au contraire. Elle baissa le regard. Elle n'aimait pas se faire cerner. Il y avait une raison pour laquelle elle refusait de parler, que ce soit à propos d'Alexander ou tout autre chose. Elle n'aimait pas que les gens puissent voir à travers elle, qu'ils en fassent ce qu'ils veulent. Elle ne voulait pas se montrer vulnérable, même si dans certains cas elle l'était. Même si elle en disait le contraire, la manière que les autres la percevait lui importait et la dernière chose qu'elle voulait c'était leur donner une raison pour la juger. « Je n'ai pas envie de parler, tu connais déjà l'histoire et je ne vois pas ce que ça me donnerait de plus. » Elle soupira. Elle avait l'impression de devoir se justifier sans arrêt depuis les dernières semaines. Ils cherchaient à connaître la vérité, à ce qu'elle ait mieux mais ça ne donnerait rien de plus. Elle avait déjà donné et elle avait perdu. Tout ce dont elle avait besoin maintenant c'était de temps. Du temps pour revenir à la réalité, du temps pour oublier ces derniers mois, du temps pour faire le deuil de ce qu'ils auraient pu être et ce qu'ils auraient pu avoir. La seule personne à laquelle la brune avait parlé était Kelly sa petite soeur. Et elle n'en dirait rien. C'était le code d'or des sœurs Richards. Enfin elle tendit une tasse de café à Rheys avant de se diriger s'asseoir et de déposer son regard à nouveau sur lui. Lui non plus ne l'avait pas eu facile ces derniers temps, d'une différente manière mais ça avait probablement été aussi douloureux. Elle n'aurait pas pu imaginer être trompée. Déjà que sa rupture l'avait laissé en mille morceaux c'était tout simplement impensable. « J'ai l'impression de décevoir tout le monde autour de moi, je ne suis pas ce qu'ils auraient voulu que je sois, je ne parle pas comme ils le voudraient... Je l'ai laissé tombé. » Sa voix s'était brisée, elle se retourna en essuyant une larme au passage. Elle ne voulait pas qu'il la voit dans cet état. Vulnérable.

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À ces yeux, Emmy qui se tenait devant lui ressemblait à un ange déchu, qui a perdu ces ailes. Quelques jours auparavant elle volait sur un petit nuage, heureuse comme tout, prête à affronté n'importe quel défis que la vie lui imposerait. Mais maintenant, son monde semblait écroulé, son nuage était disparut et elle était tombé durement contre le sol. Rheys avait connu cette dure réalité, mais n'avait perdu personne au passage, ce que la brune avait malheureusement vécu au passage. Le jeune homme se tenait fort devant elle, mais il était déchiré de voir cette petite boule d'énergie complètement dévasté. Hartley la regarda venir s'asseoir en prenant la tasse de café entre ces mains. Il était assis tout prêt d'elle mais se sentait si loin en même temps. Lorsqu'elle parlait il pouvait sentir le vide, une sorte de néant dans sa voix. C'était à glacé même le pire homme de la terre. Rheys en entendant la jeune femme parlé de désespoir posa alors sa tasse s'approchant d'elle pour essuyer une larme qu'elle avait laissé échappé pour lui prendre doucement une main. Tu ne dois pas rechercher ce que tous tes proches pense de toi, leur avis ne doit pas compter. Seul ton avis à toi compte. Le jeune homme se souvenait de comment il s'était lui même sentit lorsque son monde s'était écroulé. Il n'avait pas pensé que son futur ne serait pas composé de Prim. Celle-ci représentait tout à ces yeux, son avenir et plus encore. Quand elle était partie, elle avait emporté avec elle une partie de Rheys, celle qui servait à aimé les autres et à s'aimé lui-même. Il eu toute la difficulté du monde à apprendre de nouveau à aimé et à aimé une autre personne. Malheureusement lorsqu'il laissa son coeur parlé, et lui dicter ce qu'il voulait, il lui pointa Emmy, sa cousine. Même si le jeune homme était adopté, il était conscient que sa famille et celle de la jeune femme, le prendrait mal. Ils trouveraient quelque chose à dire. Mais pourtant, dans un certain sens, il s'en fichait. Il regarda alors Emmy, leur mains ensembles, puis s'approcha doucement d'elle. Tu n'as rien à craindre, je suis là.

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Elle n'arrivait plus à se battre, toute son énergie s'était dissipée ne laissant que ses souvenirs. Ils avaient aimé sans regarder en arrière et maintenant ils en payaient les conséquences. La réalité lui rappelant de ne pas se faire trop d'attentes. Elle n'avait pas l'habitude de parler d'elle-même, de ses problèmes. Ça lui avait toujours semblé inutile puisque ça ne concernait personne d'autre qu'elle. Et la dernière chose qu'elle voulait c'était de la pitié. Elle n'en voulait pas. Elle n'avait pas besoin d'aide, ça ne ramènerait pas Alex au pied de sa porte, sa ne ramènerait pas leur bébé. C'était sans espoir, personne ne pouvait rien y faire, c'était comme ça et la seule chose qu'elle pouvait faire, c'était de se donner le temps de l'accepter. Il n'y avait pas de solutions magiques, elle ne pouvait pas retourner dans le temps, en parler ne donnerait rien de plus si ce n'était que lui faire du mal. Elle avait ce sentiment que tout le monde essayait de la cerner, qu'ils pensaient savoir ce qu'elle pouvait ressentir alors qu'ils n'en savaient rien. Ils ne savaient rien à propos de ce qui s'était passé. Elle n'avait pas besoin de ça. Elle avait besoin de lâcher prise. Elle avait besoin de temps pour tourner la page, oublier Alexander et repartir à zéro. Et contrairement à ce qu'ils pensaient ça ne se ferait pas à quelques jours. Elle ne savait pas ce que Rheys cherchait. Pourquoi faisait-il tout ça pour elle? Ils étaient proches oui, ça ils l'avaient toujours été mais pourquoi y tenait-il autant elle ne comprenait pas. Elle ne savait plus où elle en était, ce qu'elle voulait, qui elle était. Tout lui semblait floue et inutile dans un certain sens. Des remises en question qui pour l'instant restaient sans réponse. Elle avait envie de courir, disparaître. Elle avait échoué, elle avait laissé tomber tout le monde autour d'elle et ce n'était pas un poids qu'elle était prête à porter. Ses parents la regardait différemment, ils avaient honte d'elle, Alex ne leur avait jamais plu. Mais elle s'en fichait. Elle n'était pas celle qu'ils auraient souhaité. La fille modèle qui allait étudier dans les grandes universités américaines, qui montrait l'exemple. Elle ne pouvait pas être parfaite. Rheys se trouvait devant elle et elle aurait aimé le croire, elle aurait aimé que ce soit si facile. Mais ce n'était pas si simple. Ce n'était pas tout simplement elle mais tout le monde autour d'elle. « Je ne peux pas. Ce n'est pas que moi, c'est Alex, c'est Kelly, ce sont mes parents. Je ne peux pas les laisser tomber encore une fois. » Elle n'aimait pas cette idée d'être un livre ouvert. Elle n'en parlait pas pour des raisons précises. Elle n'avait pas besoin de leur aide, elle n'avait pas besoin de son aide. « Tu as eu ce que tu voulais, va t'en maintenant. Je n'ai pas envie de parler. » Dit-elle en se détachant. Elle ne comprenait pas ce qu'il voulait. Elle n'avait pas besoin de sa pitié. Tout sauf ça.

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La salle de bain semblait vide, si vide. En fait, toute sa vie ressemblait dorénavant à un néant. Malgré ce que tous le monde pouvait lui dire, il ne voyait pas la lumière au bout du tunnel. Il se sentait au tout début, et à vrai dire, il se foutait pas mal de ce que tout le monde lui disait. Il venait d'appeler sa mère, sa propre mère, qui l'avait complètement rejeté. Ce qu'il vivait n'était rien, ça ne valait rien, qu'une petite épreuve ridicule. N'avait-il pas le droit d'être déprimé, de se sentir rejeté, abandonné, au bas de l'échelle ? Même s'il était psychologue, son métier n'était pas une étiquette permanente. Les études qu'il avait fait ne pourraient jamais l'empêcher de tombé en dépression ou de devenir dingue. Pourquoi personne ne pouvait comprendre cela ? Rheys lança un regard vers la pharmacie en haut du lavabo avec dédain. Était-il obligé de faire ça, en avait-il réellement envie ? Pourquoi pas après tout. Sa source de vie, sa lumière, celle pour qui il vivait, avait disparu emportant avec elle la seule miette de bonté et de sens qui lui restait. Maintenant sans elle, le monde ne voulait plus rien dire, et la plupart de ces proches lui avait prouvé qu'il avait raison. Personne n'avait chercher à le contredire. Pourquoi ? Peut-être qu'au fond il se fichait tous de lui. Rheys prit avec rapidité tous les pots de médicaments qu'il jeta au sol, avant d'avalé trois falon entier de médicaments. Il ne savais pas ce que c'était et s'en fichait grave. Sentant encore la douleur, il enfourcha son rasoir, retirant la lame pour se faire une entaille. Il ne se rata pas, c'était le cas de le dire. Les médicaments le firent se sentir léger, sans douleur, alors que le sang continuait de coulé. Le grand psychologue de bazar insensible, tomba dans son sang. ─ Rheys regarda Emmy en se souvenant de l'acte qu'il avait fait, déprimé, lorsque sa petite-amie avait non seulement refusé de l'épousé mais en plus lui avait avoué qu'elle l'avait trompé. Il s'était senti abandonné, et en regardant sa cousine, il pu presque se sentir à sa place. Seulement, elle, n'avait pas perdu tout sa tête contrairement à lui. Tu vois, c'est ça ton problème. Tu ne vis pas pour les autres Emmy, ni pour leur attentes. S'ils ne sont pas heureux de ce que tu es, qu'ils aillent au diable, tu t'en moques, c'est ta vie pas la leur. Il comprenait à cet instant que sa cousine avait cet esprit de famille, tout comme tous les Richards/Hartley. Il soupira un instant puis recommença. C'est ta famille, ils te suivront dans tout ce que tu accompliras, dans tous tes projets. Et connaissant tes parents, je sais qu'ils adorent leur petite Emily-Rose, assez pour la suivre et l'aidé. Lui donné du courage quoi. Rheys se leva après avoir dit cela, apparemment, elle ne voulait pas le voir. Il leva les mains et haussa ensuite les épaules mettant ces mains dans ces poches de jeans. D'accord je m'en vais. Si tu veux vraiment être toute seule dans cette maison.. Il commença à marché vers la porte.

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