∞ lost memories (andy)

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Un cri strident se fit entendre dans la petite maison des Fields. La cadette de la famille sortie de sa chambre en trombe pour courir vers la chambre de l'aîné, soit sa soeur. Rendu à destinations la jeune femme s'approcha de sa soeur pour la prendre dans ces bras en lui caressant doucement les cheveux. Celle qui avait crié était Mathilde. Celle-ci se réveillait souvent de cette façon depuis qu'elle était revenu à Eastbrown après plusieurs mois si ce n'est années, d'absence. La cadette, Rozen, continua de flatté doucement et avec délicatesse les cheveux de sa soeur en tentant tant bien que mal de calmé sa soeur appeuré. Ça va, c'était qu'un cauchemar Mattie La brunette se colla contre sa soeur en repensant à son rêve. Des flammes. Elle avait seulement vu des flammes, mais puissantes, elle pouvait presque sentir la chaleur comme si c'était un élément du passé. Le docteur lui avait dit qu'il y avait une chance pour qu'elle se souvienne, mais qu'elle était mince. À ce même moment, la jeune femme se redressa pensant que doucement elle reprenait la mémoire. Après quelques minutes de réflexion, Mathilde se leva pour allé se chercher quelques vêtements et aller les enfiler dans la salle de bain. Elle revint habillé avec une chemise blanche ainsi qu'un pantalon bleu-vert à motifs de lignes de tout sens. Elle enfila un veston noir par dessus le tout. Se regardant dans la glace elle commença à doucement se maquillé sous les yeux de sa soeur assise sur son lit. Tu vas allé travailler aujourd'hui ? La brunette se tourna vers sa cadette puis soupira. C'était évident, elle était avocate et se devait d'allé aidé ces clients, ou ces futurs clients. Elle devait clore un procès et rencontré son prochain client aujourd'hui. Ça ne se ferait pas en claquant des doigts. Mathilde prit ces clés puis fit un petit salut de la main à sa soeur qui était resté béate au salon avant de partir à l'extérieur pour entré dans sa voiture. ─ La journée passa plutôt vite, plus que ce qu'elle aurait cru. La jeune femme devait se rendre à pieds à quelques part, sa soeur ayant emprunté sa voiture lorsque Mathilde était allé mangé sur l'heure du dîner. La brunette marcha donc à travers les rues son portable en main. Elle repéra dans une petite rue une bâtisse vitrée. Au premier regard elle continua sa route sans se préoccuper de celle qu'elle venait de voir, puis se retourna finalement ayant eu un flash. Elle connaissait cette bâtisse. Elle s'aventura donc dans la rue en regardant les vitres. Cette genre de bâtisse était complètement vitré, et semblait assez solide. Elle vit même un grand escalier un peu plus loin dans l'entrée. C'était magnifique au premier abord. Puis quelque chose attira son attention. Un homme s'avança vers elle en fronçant le regard, entrant à l'intérieur tout en l'observant. La gorge serré la jeune femme continua de regardé la bâtisse un moment pour ensuite soupiré, prenant son portable pour écrire quelque chose.

You will never see deep inside of me. Je n'ai jamais crus que ma vie serait aussi sale, aussi couvert de sang qu'elle l'est aujourd'hui. Au départ, quand j'étais jeune, j'étais un gamin plutôt calme, mais j'attirais toujours les ennuie, je ne sais pas pourquoi. Je sortais toujours des histoires morbides, des idées étranges, des envies étranges. Je revoyais encore les images de ma soeur aîné mourir dans mes bras. Je n'arrivais plus à dormir depuis longtemps, j'étais insomniaque. Ça ne paraissait pas pour autant. Comme à tout les matins, aux alentours de quatre heure du matin, on toqua à la porte de ma chambre. Ça devait sûrement être cette chère Meredith. À chaque matin, j'avais ce long soupire avant d'aller ouvrir la porte seulement vêtus d'un pantalon. Je passai à côté de ma petite soeur en lui ébouriffant les cheveux direction la salle de bain. Face au miroir je regardais cette longue cicatrice qui parcourait mon torse et l'effleurai du bout des doigts en poussant un autre soupire. Me penchant au dessus du lavabeau je me pris le torse d'une main une douleur piquante dans la poitrine. Poussant un grognement j'entendis de nouveau toqué à la porte. « Andy, what the hell are you doing in here? » Je frappai sur le comptoir et me retournai brusquement pour lui ouvrir la porte. Je l’attrapai par la gorge et la plaquai sur le mur. Je la soulvai un peu de terre avant de la lancer sur le sol pour retournai à ma chambre. J'enfilai un pantalon noir, une chemise blanche puis un veston de cuir noir. Dévalant les escaliers j'enfilai de simple souliers noir et attrapai mes clefs direction le garage. Je jouai au jeu de hasard pour savoir quelle voiture j'allais prendre et faut croire qu'aujourd'hui, j'y allais avec la jolie corvette noir des années antérieur. En route j'eus un appel de mon homme de main le plus fidèle. « We got a problemm here boss... » Il devait être quoi... cinq heure du matin et déjà un problème ? Tu parles de chance. Je raccrochai et appuyai sur le champignon histoire d'arriveer plus vite. J'avais passé la journée a essayer de comprendre ce qui c'était passé. Ne pouvant pas supporté que quelque chose ne m'échape comme ça, je m'enfermai donc dans mon bureau jusqu'à ce que j'entendes mon nom qui s'exibait d'en bas. Je sortis donc et descendis les marches en fixant l'extérieur du building. Au loin j'apperçu une brunette qui m'était familière. Je me précipitai à l'extérieur. « Hey you! »

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Il y a peu de chance que vous retrouviez entièrement la mémoire, Mademoiselle Fields. L'impact a été violent. Dit-le docteur de sa chaise en regardant sa patiente qui regardait à l'extérieur. Ces pensés étaient porté à plusieurs endroits à la fois en ce moment. Par la fenêtre, elle pouvait voir la vie des gens qui passait à l'extérieur, une vie qu'elle n'aurait jamais. La jeune femme avait les larmes au yeux. Le docteur venait de lui annoncer que suite a un puissant impact, elle avait oublié tous les évènements qui c'était déroulé trois ans plus tôt, soit après la mort de sa mère. Pourquoi, à ce moment précis, et pas pendant ces trois années ? Apparemment, son cerveau était revenu au choc le plus gros qui avait été dans sa vie, soit la mort de sa mère. Mathilde était plus que frustré lorsqu'elle sortit de la bâtisse cette journée là. ─ La jeune femme marchait dans la rue en se demandant pourquoi elle avait vu du feu dans son rêve de la veille. En fait, elle avait vu une maison en feu et des personnes criants à l'intérieur. Un après l'autre ils étaient mort. C'était la pire punition que son cerveau pouvait lui offrir. Mais ce qui effraya le plus Mathilde, fut cette vision d'elle-même sortant d'une salle de bain. Un homme habillé de noir était devant elle. Sans même savoir pourquoi, elle se sentait effrayé par cet homme, qui soudainement la prit par la tête puis la lui cogna fortement contre le mur. Évidemment, du sang sortit de sa tête à cause de l'impact, mais aussi par son nez qui était directement lié à la tête. Cette vision la troublait encore. Mathilde se trouvait devant une bâtisse vitré, et comme elle s'apprêtait à s'en allé, un homme marcha vers elle. La jeune femme fronça le regard. Il l'interpellait. Restant à une distance raisonnable de lui, elle fronça le regard. Oui ? Qu'est-qu'il y a ? Mattie se rendit compte alors qu'elle était en train de regarder la bâtisse. Elle devait certainement lui appartenir. Elle était mal polie de regarder comme ça le commerce ou maison de quelqu'un. Pardon de dévisager votre bâtisse comme ça.. Elle me rappelle quelque chose, mais je ne sais pas d'où. Dit-elle le plus innocemment possible.

« She's dead... » Je me retournai vers mon homme de main en fureur Comment ça avait pu arrivé. Mon coeur manqua quelques battements et ma respiration devint courte. Me femme était morte et je n'avais rien pu faire. Prit par la colère j'avais foutu mon bureau en bordel. Depuis l'annonce de sa mort, les disparitions dans la ville avaient doublé, même quadruplé. C'était mon soulagement, ma façon de me calmer. Je n'ai jamais su qui avait tué ma femme. Bon d'accord, je n'aurais jamais dut me marier au début, j'aurais du me dire qu'elle deviendrait une source de pression, mais elle était capable de se défendre, je la connaissais assez bien pour ça. Mais là, quelqu'un, juste en face de mon immeuble lui ressemblait en deux goute d'eau, comment ne pas la reconnaître, elle a été dans ma vie pendant des années. Il fallait que je revienne à Eastbrown pour que je tombe sur son sosie, ou pour comprendre qu'elle était toujours sen vie. Qu'elle avait joué avec moi. c'était bien elle, elle aimait joué avec moi, je me souviens quand je l'avais rencontré, elle avait brûlé une de mes victimes - et sa famille - avant que j'eusse le temps de m'en prendre à lui. Debout en bas des escaliers, je la fixai replaçant mes gants et regardai un instant mes pieds avec un léger sourire embêté et agacé. « Non, non, non. Si cet immeuble te dis quelque chose, c'est que tu y est déjà venue Mattie. »

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Des gens criaient au secours. La chaleurs, cette chaleur si intense, enveloppait le corps de Mathilde. Sans savoir où exactement elle était, ces yeux fixaient une maison en feu avec des gens à l'intérieur. Malgré leur cri strident, elle ne faisait rien, restant planté là. La Mathilde d'aujourd'hui aurait tenté d'allé les aidés, aurait téléphoné à des pompiers, à des policiers, bref aurait composé le 911. Mais au contraire, celle qui ce tenait là semblait différente. Les cheveux aplatit, un tee-shirt noir à frison ainsi qu'un jeans foncé et des chaussures à talons hauts noire, cette fille-là semblait apprécié le moment, comme un spectacle que l'on regarde avec entrain. Deux Mathilde étaient présente. Celle avec un sourire, semblant être l'auteur de cet horreur, et une autre essayant de comprendre ce qui se passait. La brunette se vit sourire puis partir avec cette démarche digne d'une femme importante. Elle remarqua un détail en plus, une alliance à son doigt. ─ La Mathilde de ce monde, se réveilla en sursaut. Chaque nuit était maintenant une nouvelle vision sur sa vie. C'est ce qu'elle avait pu comprendre. C'est d'ailleurs dans une de ces visions qu'elle avait vu l'immeuble devant lequel elle se tenait. À vrai dire, quand elle l'avait vu, une personne ensanglanté se tenait à l'intérieur avec un sourire, mais Mattie n'avait pas eu le temps de voir son visage qu'elle s'était réveillé. Devant cet bâtisse, elle ne pu que resté béate en regardant ce qu'était la réalité. Sa mémoire lui revenait de plus en plus, et c'est avec frayeur qu'elle laissait chaque jours une parcelle de l'ancienne Mattie prendre le contrôle de sa vie. La brunette vit un homme s'approcher d'elle. Lorsqu'il lui dit qu'elle ne se trompait pas, un sourire apparut sur son visage. Puis soudainement elle fronça le regard et recula de quelques pas. Comment est-ce-que vous savez mon prénom ? Je.. Je ne crois pas l'avoir dit. Non, elle ne l'avait pas dit. Elle aurait aimé reculé, mais elle ne pouvait pas le faire, étant figé sur place. Son passé venait la hanté, même à Eastbrown. N'approchez pas trop.. je.. je vous en pris. La peur l'avait malheureusement envahit.

Attendez, elle avait peur? Ce ne pouvait plus être elle. Ma femme n'était plus dans ce corps. Elle était peut-être morte ce jour là. peut-être pas physiquement, peut-être qu'elle avait seulement été morte de mémoire. Sa mémoire l'avait quitté le jour ou on vint m'annoncé qu'elle était morte. Il faut le dire, quand je retrouverai le coupable, celui qui a fait en sorte que l'on me l'arrache, je le tuerai, non, j'allais le torturer jusqu'à ce que la mort s'en suivent. Je lui arracherai la peau, morceau par morceau, l'éventrai au ralentit, pour qu'il pousse des hurlement à s'en arracher la trachée. Mon plaisir à toujours été de voir tout le monde souffrir, surtout sous ma lame. Vous savez, le jour où on a tenté de me tuer avec ma propre lame, dès que je m'en étais remis, le responsable de tout ça était mort. ous voulez savoir qui a fait ça? Mon paternel. Ce jour là, ma soeur avait été assassiné sous mes yeux, elle avait été dépecé, mais surtout on lui avait percé le crâne avec ma lame, on lui avait écrasé par la suite. Fallait croire que lui qui s'en était prit à elle était nécrophile, parce qu'il se l'est tapé juste sous mes yeux après l'avoir tué. Ne me demandez pas d'où arrive toute cette rage, avec tout ce que j'ai vécu, c'est plutôt normal... Ce n'est pas ton genre d'avoir peur. Et peur de moi? Tu rigoles, t'as perdu la tête ou quoi! Je m'approchai d'elle en enfouissant mes mains dans mes poches. Je ne voulais tout de même pas effrayé encore ma femme. Je ne lui ai jamais fait peur auparavant, par exemple. Vous savez, elle avait l'habitude de me faire des surprises des plus agréable. Le dernier, avant sa mort se trouve dans la fontaine - tout de même assez profonde - dans l'entré du bâtiment. Un alligator, vous savez ce que c'est? Et bien j'en ai un de très agréable compagnie. Elle s'appelle Lucy. Je me plaçai face à elle la regardant de la tête aux pieds Mais qu'est-ce qui t'es arrivé pour que tu ne me reconnaisses pas et que tu ais aussi peur. J'eus un rire, ça m'amusait tout de même, moi qui espérait auparavant de lui faire peur. C'était longtemps après ça dite mort - et qu'elle ne me reconnaissait pas - qu'elle réalisait ce léger fantasme qui m'avait hanté depuis toujours

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La frayeur. Tous le monde a déjà connu ce sentiment, en forte quantité ou au contraire en petite, qui fait figé un corps. Le mécanisme humain s'arrête alors, laissant à la personne aucun moyen de défense sauf sa peur elle-même. La jeune femme était en réalité, béate face à la situation qui se présentait à elle. Jamais auparavant elle n'aurait pensé être devenu aussi, détraqué, et le mot est faible. En ce même moment, Mathilde n'avait pas peur de ce garçon, elle avait peur d'elle-même. De ce qu'elle avait un jour été en sa compagnie. Un monstre. Elle réalisait à la minute même, que tous ces rêves depuis déjà trois ans n'était pas faux, mais réels. Chaque parcelle de ces rêves, avaient eu un sens dans sa vie. Cette jeune femme brune au cheveux plats, avec de belles robes moulantes, des habits hors pairs et cette amour - cette passion plutôt - du feu, c'était elle, Mathilde. Chaque pas qu'elle faisait de reculons, servait à lui faire oublié sa vie passé. Ne pouvait-elle pas faire un trait une fois pour toute sur cette vie oublié ? Il n'y avait aucune nécessite pour qu'elle soit de nouveau cette brunette violente et pyromane. Son regard se porta sur son interlocuteur. Il était grand, menaçant et franchement amusé de la situation. Ces yeux semblaient lointains mais si proche à la fois. Lorsqu'elle le regarda dans les yeux, elle se vu, mais de façon complètement différente. C'était cette fille qui avait déclenché le feu, pas elle. Mathilde était maintenant une femme de parole, fiancé, avec un fils et avocate. Elle gagnait sa vie en jugeant les gens, en les aidant à avoir une vie, coupable ou non, peu importe le verdict finale. Que penserait l'état, s'ils savaient ce qu'avait été cette femme compétente autrefois ? Elle n'osait même pas y pensé. C'est une Mathilde craintive, et apeuré par son propre reflet dans la glace qui se tenait devant cet homme. Il mit ces mains dans ces poches, comme pour lui montré qu'il ne voulait pas lui faire de mal. Mais nul était ces gestes qui lui faisait peur, c'était ces paroles. Vous faites erreur.. Je.. Je suis fiancé et.. Et j'ai un fils. Dit-elle espérant qu'il s'éloigne, qu'il oubli cette histoire. Mais à le regardé elle comprit qu'il ne lâcherait pas l'affaire. Écoutez.. Je ne sais pas qui vous êtes, où si je vous ai connu. Mais j'ai perdu trois années complète de ma vie, c'est le néant. Je ne me rappelle plus de rien... Alors c'est peine perdu.. Vous feriez mieux d'oublié.. Oublié tout ça. Ces mains tremblaient terriblement et son pouls était complètement fou. Elle parlait en bégayant, cherchant ces mots, essayant de gardé une certaine assurance.

» MAILLING OF ANDY MONROE.
» ANDY ♌ I'm a cherrybomb you could'nt understand
» ANDY ♌ I will kill people
» ∞ i'll be back (andy/3 years back)

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